Deully: Dante et Virgile aux Enfers
Emprunte les conduits
Des cheminées méridionales,
N' aie crainte de la suie
A la noirceur subliminale.
Le feu fera fondre l' arctique
Du passé momifié,
Toutes les tristesses antiques
Finiront pétrifiées.
En vain le froid te suit
Dans cette retraite infernale,
Au feu les sanglots fuient
Figés en neiges hivernales.
Si le destin défié,
Apposait son sceptre sceptique,
Ton totem déifié
S' imposerait comme un viatique.
Ben, le ciel est gris par ici et même il pleut sur tes rimes... :(
RépondreSupprimerCôté Totem, j'ai bien une petite idée à la Moëbius :))
Sourires et mucho besos, poétesse aux cumulus nimbus ♥
Ha ha! bandard fou, sors de ce corps! Et pourtant il est limpide notre ciel parisien, on se croirait par chez toi, on est sous le même ciel!
RépondreSupprimerQuelque soit la voie empruntée, mon totem veillera sur les poètes et les poetesses et l'ivresse retrouvée emportera les belles ames là haut sur les nuages lavées des résidus de suie. Toutes mes amitiés Isabelle!
RépondreSupprimerQuelle belle invitation au voyage! Je te suis, mon ami!
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