Ensor, Mon portrait entouré de masques
Souviens toi des veillées dorées de crépuscules,
Quand la guitare rythme le conte de fées,
La légende rappelle le mythe d'Orphée,
Rassemblant ses poèmes en noirs opuscules.
Elles dansent leur ronde les filles girondes,
En parade inversée telles des grues cendrées,
Ignorantes des maux qu'elles ont engendrés,
Leur nuptiale valse enfin mène le monde.
L'artiste a sa faiblesse qu'on nomme beauté,
Pour la postérité c'est en cela qu'il souffre,
Pour chaque éternité en ses relents de soufre,
Il sait sans lendemain combien il a fauté.
Parce qu'il ignora que de rien ne fut maître,
Parce qu'en vérité c'est Dieu qui le créa,
Il peut s'interroger en un gouffre béat,
Aux voeux du Créateur il n'a qu'à se soumettre.
Où es-tu ? Que deviens-tu ? je lis et me régale...
RépondreSupprimerJe suis heureuse, le monde va à vau l'eau et je suis sur mon radeau de sauvetage, un peu médusée, et toi mon poète extra lucide, come va?
SupprimerHai il mio numero di telefono. Sto morendo !
SupprimerCiel, c'est terrible, dis moi où tu es je viendrai te voir.
Supprimerje ne passe pas souvent et à chaque fois je m'en veux de ne pas être plus fidèle. J'espère que vous allez bien Orfeenix
RépondreSupprimerMerci de cette visite, nous ne sommes pas ponctuels mais nous avons les mêmes valeurs.
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