Si tu crois, si tu penses que la moindre horloge,
Puisse donner le temps sans un maître horloger,
Le peuple aurait le droit de pouvoir abroger
Les édits promulgués par les occultes loges,
Tu n'as donc pas compris que tous ils sont mortels,
Que nul n'ajoutera de coudée à sa taille,
Dans l'univers entier chaque petit détail
Fut conçu par le Dieu immolé aux autels.
Regarde autour de toi toutes ces confusions,
Aucune vérité même en la créature,
La nature agonise en son règne immature,
Un monde sans humains? Diabolique illusion.
Courbe toi fier Sicambre, à genoux petit être!
Seul l'unique démiurge te mettra debout,
Homme à son effigie, arraché de la boue,
Rampant dans la fange, vautré dans le salpêtre,
Quand on l'a couronné d'un diadème de sang,
Il t'a fait héritier d'un règne cruciforme,
Te voilà tatoué, percé d'un signe hors norme,
Cours vite lui offrir l'or, la myrrhe et l'encens.
Juste un petit bonjour sur la pointe des pieds, je ne veux pas prendre un coup qui ne m'était pas destiné (ouïlle!) ^^
RépondreSupprimerAh non pas de coup bas! Je respecte ton tricorne!
RépondreSupprimerJe chante cet air, il est tout à fait dans mes cordes, du mi bémol aigu au ré grave deux octaves en dessous.
RépondreSupprimerJe n'ai aucun doute sur tes talents de diva!
Supprimerde Contralto sans écho, oui ! Tu te rends compte j'ai perdu tous mes enregistrements !
SupprimerMais quelle horreur , n'as tu fait aucune sauvegarde?
SupprimerEt moi, le teigneux, tu m'aimes ? Tu es une des rares femmes que je désire !
RépondreSupprimerMais oui je t'aime, tu n'es pas teigneux, tu es lucide!
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